DELTA-OR Admin
Nombre de messages : 72 Age : 71 Localisation : Provins Date d'inscription : 23/01/2009
| Sujet: Bonjour mes amis et amies bisous Sam 7 Fév - 3:53 | |
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Pour Vous me dames |
Solitaire...
Cela arrive à chaque fois qu'on n' a nulle part où aller. Une cour sinistre, un arbre fruitier, un chat solitaire, je marche De long en large entre les citronniers. Quand il n'y a nulle part où aller, on sort d'une pièce pour aller dans la cour Puis on revient dans la même pièce. Certains soirs d'huver semblent si longs Qu'on voudrait les repousser le plus loin possible Pour laisser place à une nuit profonde et paisible Ou à une matinée éclatante de soleil. Les journées passeraient ensuite à rêvasser Et à bavarder. Quand il n'y a nulle part où aller, Je m'assois tranquillement sur la véranda, Me fraie mentalement un chemin à travers la brume Et entre dans une autre pièce. Qui le beau jeune homme serein Assis là attend-il? Je n'ai nulle part où aller. En regardant fixement ces pièces si familières, la cour, le mur, Les soirs d'hiver, Je frappe mentalement à une autre porte, Toc, toc, toc, je retiens les larmes qui montent de mon coeur brûlant Et je crie Jeune homme, qui attends-tu?[url=http://www.amazon.fr/gp/search?ie=UTF8&keywords=femmes nasreen&tag=bibdanlunides-21&index=blended&linkCode=ur2&camp=1642&creative=6746][/url] |
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[size=25]COMMENT TE DIRE ...
Comment te dire encore que je t’aime? Laisser parler mon cœur est insensé, Voici la fin de mon rêve bohème.
Ce sentiment, le nier est blasphème, À son appel mon cœur s’est élancé, Comment te dire encore que je t’aime?
Entre tes doigts l’amour naît anathème, Murmures doux, le ciel, ont offensé, Voici la fin de mon rêve bohème.
Tes yeux sont clos obscurcis d’aposthème, Tes mots défunts sans musique ont valsé, Comment te dire encore que je t’aime?
Et aujourd’hui je t’écris ce poème, Mon cœur au vent d’orage est dispersé, Voici la fin de mon rêve bohème!
Embrasse moi, dernier baiser suprême, Pars sans regret, d’Oubli tu es fiancé, Comment te dire encore que je t’aime? Voici la fin de mon rêve bohème...
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Je suis captifs d'azur... Je suis captif de l’azur, à l’éclat ardent du saphir, bordé de rais démesurés, au cœur indéfini du soleil.
Dans ce torrent impérieux où s’abreuve le jeu torride où l’âme ensorcelée s’égare sur le bal des attouchements.
Dans ce monde, la conscience se mêle au chant des corps, il retentit sur l'aurore fascinée où brasille la clarté de l’amour.
Les mains dans le sillon rougi, sur le mouvement de tes lèvres, confessant l’extase du même désir, Je hurle sur l’orage de ta bouche.
Je suis captif de l’azur à l’éclat ardent du saphir bordé de rais démesurés au cœur indéfini du soleil. |
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