Poèmes mes amis et amies du 20-01-2010 bisous

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Imaginez moi nu... Imaginez moi nu Par un mois de Janvier Dans la petite rue Pas Semble Celle Qu'il vous Je serais étendu Par ce mois de Janvier Attendant la tenue Que tente bien sûr il vous J'attendrais grelottant Faisant le pied de grue Vos atouts caressants Et de bien entendu Je serais votre amant Supportant l'incongru Pour vous j'aurais le temps De Faire le talus J'attendrais vos caresses Pour mon réchauffer corps Un peu de Hardiesse Pour supporter l'effort Et vous n'aurez de Cesse Mes allumer tous bords D' Pour finir ma faiblesse Et vous n'auriez pas tort... Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, ... Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, Nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous! Les promesses d'un visage... J'aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés, D'où semblent couler des ténèbres, Tes yeux, quoique très noirs, m'inspirent des pensers Qui ne sont pas du tout funèbres. Tes yeux, qui sont d'accord avec tes noirs cheveux, Avec ta crinière élastique, Tes yeux, languissamment, me disent : " Si tu veux, Amant de la muse plastique, Suivre l'espoir qu'en toi nous avons excité, Et tous les goûts que tu professes, Tu pourras constater notre véracité Depuis le nombril jusqu'aux fesses ; Tu trouveras, au bout de deux beaux seins bien lourds, Deux larges médailles de bronze, Et sous un ventre uni, doux comme du velours, Bistré comme la peau d'un bonze...