HAZIEL_1
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 |  Sujet: Poèmes mes amis et amies du 29-03-2010 bisous  Lun 29 Mar - 22:29 | |
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Guérire par amour...
Tu continues à me blesser
Tu n’arrives pas à t’arrêter
Je vois bien que tu souffres de cela
Cette facette de toi ne veut mourir là
Dans tes yeux une lueur maléfique
Tel un ange déchu, très diabolique
Tu es décidé à me faire payer le prix
De ton passé, des erreurs de ta vie
Je ne veux pas te changer
Mais que tu abandonnes toutes tes peurs
Recule, il faut te donner
Le courage d’effacer cette noirceur
Mettons tous nos moments décalés
Dans la boîte à souvenirs
Perdons-en la clef
Et arrêtons ensemble de souffrir...  Je t'oublierai... Brèves de mon cœur,
Épilogues amers
Ne sachant le bonheur.
Envies éphémères.
Il est venu l'heure
De nous quitter,
Ma petite sœur,
Je t'ai tant aimée ?
Mes mains en sueur
Glanent un instant
De toi quelques fleurs.
Se fanent ces moments.
Mes mots en acteurs
Délivrent un soupir.
Comme aléseurs
Ils veulent agrandir.
Le temps a son moteur.
Pour me faire oublier,
Un seul cri du cœur,
Que je t'aimais. Le Deuil d'un amour... Tu m'a ouvert une plaie,en me quittant sans soin,
Tu habitais mon coeur,et remplissait ses coins.
Infiltrée dans mes pores,comme la rosée aux fleurs.
Le toucher de ton corps, était tout mon bonheur.
Je me plains de moi-même,que t'ai-je fait pour partir?
Coupable que je t'aime?Que t'ai-je fait pour trahir?
Tu germais comme un grain, dans mon corps et mes veines.
Et tu savais trés bien, où cet amour nous mène.
Sacrifier tous les points, qui nous lient et entrainent:
Un sacrilège empoint qui me cause de peine!
Je ne peux oublier, le toucher de ton corps;
Les jours ensoleillés, passés ensembles dehors;
Ton corps recroquevillé, figé par mes apports;
Et mes mains qui pillaient les bouts de tes trésors;
Où ton ame vacillait pour avoir plus encore!
Ton palais rose mouillé, et ses duvets en or,
Quand tu voulais griller les tabous les plus forts,
En voulant réveiller tout ton plaisir qui dort!
Comblée ,émerveillée!Est-ce ceci est mon tort?
Un jour tu te réveilles,ta jeunesse gaspillée.
Cherchant dans cet éveil, l'amour que t'as grillé;
Quand tu ne trouves pareil, aprés avoir fouillé,
Sans goûter ce merveil que tu viens de souiller:
Tu subiras le deuil d'un amour bafouillé! |
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